Samedi 21 janvier 6 21 /01 /Jan 12:14

Franck est tout ce qu'il y a de plus ambitieux, un requin de la finance à la dentition bien acérée. Sa vie a basculé lorsque celui-ci à été embauché comme agent administratif dans un important groupe financier. Après avoir évolué dans différent poste, il se trouve aujourd'hui à 36 ans, Directeur Général adjoint. Une évolution fulgurante établie en moins de 10 ans. Dans son ambition, il lui faut encore franchir deux étapes, avant d'atteindre le sommet tant convoité de la pyramide. C'est à dire, obtenir le poste de directeur générale et enfin celui de président. D'après ses calculs, il devrait arriver à ses fins en moins de 10 ans. Franck serait alors le président le plus jeune que le groupe n'ai jamais connu. La raison de sa folle ascension vient d'une relation privilégier avec sa hiérarchie.

Depuis quelques années, il fréquente le même club SM que la direction du groupe.
Grâce à son salaire mensuel vertigineux, triplé annuellement par l'intéressement aux bénéfices, il s'est offert trois voitures. Deux berlines, une avec laquelle il part tous les matins au bureau et la seconde, il ne sait pas pourquoi, mais il l'a tout de même acheté. Franck préfère conduire la première berline, car le macaron dressé à la pointe du capot le fait jubiler en conduisant. La troisième est une voiture de sport généralement rouge, mais lui l'a préfère noire. Un choix décidé sur commande.

Ses trois véhicules sont stationnés dans le parking résidentiel de l'immeuble ou il possède un grand appartement. Les autres résidents trouvent exagérés qu'un homme possède autant de véhicules à lui seul, sachant que le parking contient autant de place qu'il y a d'appartement. Ce qui fait que certains résidents ne trouvent pas de places pour se stationner. Mais, Franck s'en fou royalement du désagrément qu'il peut causer !

Son appartement est presque vide, il y a un lit, une penderie pour ses costumes, un home cinéma et un canapé en cuir. Pas besoin de table pour les repas, puisqu'il prend son petit déjeuner au bureau, le déjeuner au restaurant privé du groupe et le diné dans le restaurant d'un client. Evidemment, la carte est gratuite pour lui ! Le week-end, il prend tous ses repas dans le club SM, ou il retrouve tous les dirigeants du groupe. Toutes les femmes sont jeunes, belles et dominées. Sa devise est toujours dominateur, jamais dominer que se soit sexuel ou professionnel. Il maîtrise tout. C'est d'ailleurs ce qui a fait sa réputation dans le groupe financier. Il est le meilleur !

Comme tous les matins Franck monte à bord de sa berline grand luxe pour rejoindre le bureau. Il baisse la vitre électrique avant d'allumer son cigare déjà coincé entre ses dents. Quelques centaines de mètres après le parking, la voiture s'arrête à un feu rouge. Franck patiente en observant les alentours.

Soudain, il aperçoit une femme marchée sur le trottoir. Il ne peut s'empêcher de fixer la femme de forte corpulence. En fait il n'aime pas les gros ! Pourtant celle-ci porte bien son poids avec sa grande taille et son visage est assez joli encadré d'une chevelure brune tombant sur ses épaules. Mais rien à faire, il déteste les gros ! Le feu passe au vert, Franck presse la pédale d'accélérateur forçant la grosse cylindrée à démarrée sur les chapeaux de roues.

Malgré ses nombreuses conquêtes féminines en évitent les « grosses », Franck est toujours célibataire. Pas de femme, pas d'enfant. Et surtout pas de bébé. Rien que de penser au mot bébé, cela le répugne. Il ne s'imagine pas changer une couche pleine de merde et qui pue, les biberons, les vomies. Non, ce n'est pas pour lui ! Même ci pour lui les femmes sont là pour s'occuper de çà !

Enfin son moment préféré de la journée arrive. Ce qu'il préfère par-dessus tout, est son entrée magistrale dans le hall d'accueil du groupe. La grande classe, chaussures sur mesure, costume sur mesure, le prince ou plus tôt le roi fait son entrée dans le hall. L'hôtesse d'accueil souriante lui dit bonjour. Lui passe son chemin sans lui répondre et sans même un regard.

Devant son bureau, sa secrétaire mignonne dans son tailleur, lui dit bonjour avec un sourire charmant. Elle n'attend pas de réponse de sa part, car elle connaît le phénomène.

A peine assis dans son grand fauteuil de patron, que la secrétaire lui apporte une tasse de café et une corbeille de croissants, comme tous les matins.

Avant que la secrétaire ne reparte, Franck lui demande d'aller lui faire une course en lui tendant sa carte bancaire d'orée.

- J'ai besoin de trois chemises blanches.
- Quelle type de chemise voulez-vous ?
- Comme d'habitude les plus chers et vous connaissez ma taille. »

En regardant sa secrétaire partir, Franck se dit que cette femme n'est qu'une bonniche et rien d'autre !

La journée se déroule comme d'habitude à cent à l'heure, conseil d'administration, réunion, visioconférence. Comme tous les vendredis il ressent le même épuisement. Il pense déjà à samedi ou il va pouvoir faire la fête au club SM et faire sauter un nombre illimité de bouchons de Champagne.

La première bouteille est toujours un magnum qu'il agite pour en asperger tous les convives.
Quelques coups de fouets sur les fesses nues d'une esclave entre deux coupes de Champagne, la fellation d'une chienne à quatre pattes entre ses cuisses, pendant qu'il mangeant du caviar. En bref le pied !

Par TOM BERGHAMER - Publié dans : ABDL
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Samedi 21 janvier 6 21 /01 /Jan 12:11

Un homme d'affaires odieux se retrouve séquestré chez une inconnue, il sera drogué et infantilisé...

Par TOM BERGHAMER - Publié dans : ABDL
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Samedi 14 janvier 6 14 /01 /Jan 15:12

Je suis ab depuis l’âge de 11 ans, évidemment à cette époque j’étais loin de connaître la signification de ces deux lettres ab. De plus je n’étais pas encore adulte baby, puisque je n’étais qu’un enfant. Durant toutes ces années j’ai grandit avec cette chose dans la tête, sans savoir que d’autre personnes pouvaient êtres comme moi. Toutes ces années seul au monde avec se besoin de régresser.

J’ai découvert le monde abdl grâce à internet, il y a environ deux ans, c’est là que j’ai compris que d’autres personnes étaient comme moi. Ceci n’empêche pas d’être toujours seul au monde, derrière mon écran d’ordinateur.

Un soir comme tant d’autre soirée derrière mon ordinateur, j’étais sur abk lorsque  je trouve une nurserie pour adulte sur Paris. Curieux, j’ai visité le site. J’ai lu tous ce qu’il y avait lire sur ce site et m’a sembler honnête. Depuis le temps que je rêve d’assouvir se besoin de régresser, je réfléchi quelques jours à la décision à prendre.  Je n’ai jamais trouvé normal se besoin de régresser et cette chose que j’ai toujours eu dans la tête, à toute ma vie été un boulet. J’ai toujours cru que pour me débarrasser de cette chose, il suffisait que je l’assouvisse.  Alors, je me suis dit que cette nurserie était peut-être l’opportunité de m’en débarrasser définitivement.

Un jour où je ne travaillais pas, je décide de contacter Abcocooning. Au bout de quelques sonneries, une charmante voix féminine me répond. C’est la nurse elle-même qui répond. Elle s’appelle Perla.

Je lui explique que je voulais prendre un rendez-vous pour un week-end. Nous bloquons une date pour le mois suivant. Nous avons longuement discuté au téléphone de choses et d’autres, mais très peut de la notion ab. Etant donné la distance qui nous sépares (Quimper-Paris), Perla me demande de lui expédié un chèque d’avance qui confirmera ma venue. Vous me direz, pourquoi parlé d’argent dans cette aventure ? Eh bien tout simplement, parce que celui-ci est le début de l’aventure !

Le chèque expédié le jour même, il ne me restait plus qu’à organiser le voyage. Le plus compliquer était comment faire pour disparaître le temps d’un week-end, sans que personne ne le sache ou du moins ce dont j’allais y faire ! Je trouvais risqué de disparaître sans laisser de traces. S’il m’arrivait quelques chose, personnes ne s’aurait ou je suis !  Alors, je me suis assuré qu’au bureau mes collègues sachent que je partais pour Paris tout un week-end. Personnes ne m’a poser de questions. Mais le plus compliqué était ce que dire à mes parents. Pour eux je leurs ai inventé un long week-end chez un collègue de bureau qui devait faire la crémaillère de sa nouvelle maison et que je ne serais pas disponible au téléphone. A savoir que la maison existe bien, mais pas la crémaillère !

Durant un mois j’ai imaginé comment le week-end allait se dérouler. Mais, là il y avait une ombre. Cet ombre était un chèque ! Car depuis bientôt deux semaines je n’ai pas reçu la confirmation de Perla concernant la réception de mon chèque. Rien n’est débité sur mon compte non plus ! Mais, ci pas de chèque, date annulée aussi ! Je m’inquiète autant pour le chèque que pour mon week-end. Je décide alors de contacter Abcocooning. Et là horreur, malheur ! Perla me confirme ne pas avoir réceptionnée mon chèque. Heureusement elle me croit et le week-end tient toujours. Perla me conseil de faire opposition sur mon chèque, ce que j’ai fait. Là aussi la banque ne voulait pas faire opposition sans un écrit du destinataire. J’ai du expliquer au guichetier que je n’avais pas d’autre solutions. C’est  lorsqu’il fini par comprendre qui j’étais, que ce dernier prend la bonne décision.

Le jour J approche à grands pas, et il me reste encore un détail à réglé. Comment rejoindre la gare ?

D’après ce que l’on m’a conseillé, je devais éviter de laisser ma voiture tout un week-end sur le parking de la gare. D’autant plus que ma voiture peut facilement attirée le regard et incité des personnes mal intentionnées à la dégrader, juste par plaisir. Je n’aurais pas eu la conscience tranquille en sachant ma voiture à cet endroit. Donc, il fallait qu’elle reste sagement garée dans le parking de l’immeuble. En fait  tout le problème pour moi est de rejoindre la gare à pieds à cause de mon handicap. A six heures du matin il n’y a pas de bus non plus, alors je réserve un taxi.

Le jour J était un samedi et s’est en rentrant chez moi le vendredi que je remarque un message sur mon portable. J’écoute la messagerie, c’est Perla qui m’annonce qu’elle vient de recevoir mon chèque. Quatre semaines plus tard !! Peut-être à t’il dû passer par la Chine avant de rejoindre Paris !

Qui sait ?

 

Le  jour J arrive enfin ! Je me lève à cinq heures du matin et prend une bonne douche. Je suis près largement dans les temps, il ne me reste plus qu’à attendre le taxi. Les minutes passent et toujours pas de taxi. Je décide de l’attendre dehors sur le trottoir. Les minutes passent et toujours pas de taxi ! Furieux je rentre chez moi pour téléphoner au taxi. Et là horreur ! Celui-ci m’apprend qu’il n’avait pas de rendez-vous à l’heure convenu !

Pas de taxi. Il me reste deux solutions pour rejoindre la gare. La voiture ou à pieds. J’hésite car trouver ma voiture dégradée me ferait trop mal au cœur. Décision prise, j’irai à pied.

Malgré le temps qui me restait et mon handicap, je suis arrivé largement avant le départ du train.

Le train partait de Quimper à six heures et demi et arrivé à Montparnasse vers onze heures. Un long voyage mêlé à l’impatience de rencontrer Perla.

Le voyage paru interminable, lorsque le train arriva enfin en gare de Montparnasse. L’impatience se fut de plus en plus pressente ! Avec Perla nous avions convenus qu’elle m’appellera sur mon portable lorsque je serais arrivé. Les minutes passaient et toujours pas d’appel. A tout hasard je vérifiais que mon portable était bien en fonction. Y’a peut-être pas de réseau sur Paris !  Après vérification sur mon portable. Ah si !

Je commençais à me sentir perdu seul dans cette immense gare, avec ces gens partout ! Soudain la musique qui remplace la sonnerie du portable retentie. C’est Perla  qui me demandait ou je me trouve ? Afin qu’elle puisse me reconnaître, je lui décris mes vêtements.

Je balayais des yeux la gare afin de la trouvé, mais comme je ne savais pas à quoi elle pouvait ressembler, je pouvais toujours chercher !

J’entendis une voix féminine m’appelée par mon prénom. Une jeune femme aux cheveux longs tombant sur ses épaules, me sourie. Enfin Perla ! A ce moment précis elle devint mon centre de gravités.

Pour rejoindre la nurserie, il fallait traverser tout Paris. Je suivais Perla. Je la suivais sans savoir ou nous allions, comme un bébé qui fait confiance à sa nounou. En ce qui me concernait j’étais totalement désorienté dans cette ville. Pas le temps de traîner, il fallait courir pour sauter dans le prochain métro. D’ailleurs tout le monde courait dans cette ville, même le samedi ! Après plusieurs métros et bus, nous arrivions enfin devant la porte d’entrée de la nurserie. L’excitation de ma nouvelle expérience grandissait en moi.

 

Dans l’appartement, Perla me proposa de boire un café que j’acceptais. Levé depuis cinq heures du matin, un bon café ne se refusait pas, étant donné que dans une journée normale, je dois boire une cafetière entre le boulot et chez moi. Ce qui fait peut-être que je dors très peut. D’ailleurs en ce moment il est exactement cinq heures cinquante neuf ! Parfois les journées ne sont pas assez longues !!

Durant un moment, nous discutions de choses et d’autres. Mais dans la discutions, Perla me demanda ce qui me ferait plaisir en tant que bébé. Je dois avouer que je ne suis pas très exigent à ce niveau.

Perla entra dans la salle de bain pour faire coulé le bain et ensuite dans la nurserie pour préparer mes futur vêtements. Quant à moi, Je n’osais pas entré dans la nurserie ! De plus j’étais pris d’une grosse envie de…..faire pipi !! Gêné, je demandais à Perla ci je pouvais aller au toilettes. Alors, elle me regarda avec un sourire et me répondit : « C’est bon pour cette fois ! »

Le moment fatidique se faisait imminent. J’approchais craintif de la nurserie ou Perla m’attendait.

La nurserie était composée d’une table à langé, d’une chaise haute, d’un lit à barreaux et des jouets dans un coffre.

Je m’allongeais sur la table à langé, puis Perla commença à me déshabiller. Je trouvais la situation marrante  et honteuse à la fois, car c’était la première fois que l’on me déshabillait dans ces conditions. Même après avoir passé une bonne partie de vie à l’hôpital !

J’étais nu !

Perla me pris par la main pour me guider jusqu’à la salle de bain ou je devais prendre mon bain.

Le bain terminé Perla me sécha le corps avant de me reconduire dans la nurserie. Je m’allongeais de nouveau sur la table à langé. Là elle me mit une grosse couche, puis me fit un massage sur tout le corps. C’est vrai que celui-ci détend !

Pour terminer Perla m’enfila une grenouillère, laquelle je constatais un peu grande pour moi.

Alors Perla me répondit : « Se n’est pas la grenouillère qui est trop grande, c’est toi qui est trop petit ! »

Bon, j’avoue qu’avec mes un mètre soixante cinq, je n’ai pas de problèmes de vertige.

Vint l’heure du repas. Perla me demanda si j’avais faim, après m’être levé de bonne heure. En fait, avec mon corps en ébullition je ne savais plus !

Quoi qu’il en soit je m’assieds dans la chaise haute, puis Perla me noua un bavoir autour du cou, avant de disparaître dans la cuisine.

Perla réapparue quelques minutes plus tard avec une assiette et un biberon de grenadine. Elle me donna à manger à la petite cuillère. Je trouvais cela marrant et c’était la première fois que l’on me donnait à manger, du moins depuis fort longtemps. Après avoir bu quelques gorgées de grenadine, je confirme, s’est pas bon !

J’aurais préféré un bon verre de vin de rouge. C’est aussi rouge comme la grenadine, non ?

Après le repas Perla me proposa d’aller faire une sieste.

« Tu dois être fatigué, après un long voyage. »

Ben oui, normalement. Normalement !

Alors je montais dans le lit à barreau, puis Perla m’apporta une tétine.

Une heure ou deux heures plus-tard, je suppose car je n’avais pas de montre, Perla entra dans la nurserie avec un biberon de lait. J’avais trouvé le débit trop fort à mon goût et elle me répondit : « C’est pour les grands bébés ! » Je comprends, mais pour moi…..non !!

Je retournais m’assoir dans la chaise haute où Perla me donna un cahier de coloriage et des crayons de couleurs, puis je me mis aussitôt à l’œuvre. J’avoue que d’ouvrir un cahier de coloriage, change totalement des dossiers lourds du boulot !!!

Le soir venu, Perla me l’avait déjà annoncé que sa maman qui se prénommait Fanfan, allait venir me garder. Perla avait une soirée de prévue avec des amis.

Soudain quelqu’un frappa à la porte d’entrée. Moi dans ma chaise haute, je m’inquiétais.

C’était Fanfan, une dame très sympathique, malgré cela je me sentais honteux devant cette nouvelle personne.

Avant de partir Perla me fit un gros bisou sur la joue.

Fanfan entra à son tour dans la nurserie : « Il paraît que tu es un bébé très bavard ? »

Ah oui, c’est vrai ! Je confirme. Malgré ma timidité, lorsque je commence à parlé, je ne m’arrête plus ! Il faudrait me donné 1 Euro pour me stopper. Et encore….

Alors, nous avons discuté de toutes sortes de choses, sans voir le temps passé. Fanfan finie par me demander ci je n’avais pas faim et si j’avais une idée de l’heure qu’il était.

Ben non, puisque je n’avais plus de montre. Le but du week-end était que je ne puisse pas savoir l’heure, afin d’en perdre la notion du temps.

« Il est déjà vingt deux heures ! me dit-elle »

Fanfan me donna un petit pot d’artichauts. S’était pas bon, à me donné des hauts le cœur ! Je suis peut-être breton, mais je n’aime pas les artichauts et encore moins le cœur d’artichauts. En complément elle me donna un petit pot d’hachis Parmentier. Là se fut meilleur !

Dans le lit à barreau, Fanfan me donna une peluche que je pris dans mes bras et m’en disposa d’autre autour de moi. Toute l’après midi j’avais une grosse envie de faire pipi, mais je n’y arrivais pas. Alors dans mon lit j’essayai plusieurs positions avantageuses. Allongé ca ne marchait pas, à genoux non plus, debout toujours pas ! Bloqué. J’étais bloqué ! En insistant cela fini par venir. Ouf, soulager!

Le lendemain matin Perla entra dans la nurserie, après une bonne nuit ou je n’avais pas fermé l’œil. Je crois que l’adrénaline avait remplacée le café !

« Alors tu as été gentil hier soir, m’affirma Perla. »

Ben oui, je suis gentil et débordant d’affection !!

Perla s’allongea près de moi et me prie dans ses bras pour me donner le biberon. Cette fois le débit était plus raisonnable ! Après nous faisons un gros câlin, puis elle me fie bisou sur le front. Qu’est-ce qu’elle n’avait pas fait ! Aussitôt je lui fis moi aussi pleins de bisous sur la joue. Ben oui, faut pas me chercher !!

L’après midi nous avons joué ensemble aux petits chevaux, sur un tapis avec un grand dé. C’était génial !! Entre temps, nous avons fait une pause café cigarette. Lorsque Perla m’apporta mon café, je ne vis pas de cuillère. Alors, je lui en demandais une.

« Tu n’en as pas besoin, c’est déjà fait, me répond t’elle. »

Je dois dire que j’ai adoré cette petite touche d’intention !!

Ce week-end merveilleux toucha à sa fin. Après une dernière sieste, Perla me réveilla en me disant qu’il était temps. Je finissais de me préparer, lorsque je laçais ma deuxième chaussure. Malheur ! Le lacet cassa ! Comme je n’allais pas marché avec  une chaussure délacée, je bricolais mon lacet avec un nœud. Deuxième problème, je n’arrivais pas à glisser le lacet dans l’œillet. De plus Perla me mettait la pression.

« Dépêches-toi, nous sommes juste dans les temps. Ci tu traînes, tu vas manquer ton train ! »

Heureusement Perla trouva une idée en mettant du scotch à l’extrémité du lacet. J’étais alors plein d’admiration pour Perla !

Lorsque nous arrivions à la gare Montparnasse, c’était chose faite. Le train était parti sans moi !

Si un train devait partir à l’heure, évidemment c’était le mien !!

 

Depuis, je rêve encore de revivre se week-end merveilleux chez abcocooning. L’effet que j’espérais n’a pas fonctionné. J’ai toujours en moi se besoin de régresser.

A ce jour, je cherche une nounou que je pourrais voir régulièrement. Mais je crois que c’est utopique.

Toujours seul derrière mon écran d’ordinateur.

Par tomberghamer - Publié dans : ABDL
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Samedi 14 janvier 6 14 /01 /Jan 14:54

J’ai créé se blog afin de partager mes petites expériences et mes histoires.

Je suis AB depuis l’âge de 11 ans. Comment suis-je arrivé là ? Eh bien, je ne le sais pas !

Durant des décennies, j’ai cherché à comprendre et refusé se besoin que j’avais de vouloir régresser.

Mais, j’ai fini par comprendre qu’il était inutile de lutter contre se phénomène. Ainsi, je l’ai accepté. Pas de bon cœur, mais accepter !

Je suis AB, 38 ans, mais petit dans ma tête. Malgré cela, je suis devenu l’homme que je rêvais d’être, bon boulot et belle voiture. Pourtant, rien n’est parfait. Car au font de moi je suis AB avec se besoin irrépressible de devenir petit. Comme beaucoup d’AB, j’aimerais rencontrer une femme qui saurait comprendre ce que je suis. Qui s’aurait me prendre en main dans mon état d’AB.

Mais je suis aussi conscient qu’il ne faut pas rêvé ! Car si l’on se tient à la grande phrase d’une majorité de femmes à leurs maris : « Je ne suis pas ta mère ! »

 

Mes histoires traitent uniquement sur la régression AB. Cela consiste à réduire un adulte au stade de la petite enfance. En conséquence, mes histoires ne contiennent aucuns actes sexuels.

 

 

 

                                                                                                             TOM BERGHAMER

 

Par tomberghamer - Publié dans : ABDL
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